Larmes de saule
En voilà un qui a dû pleurer quand il m’a vu arriver…
Ça m’a ému, alors je lui ai tiré le portrait.
Et puis hop ! Fini les jolies mèches blondes ! Rasibus !
Métamorphosé en balai à chiottes jusqu’au printemps.
Et encore : pelé, le balai ! Un tronc tout droit et trois poils au-dessus.
Faut ça pour qu’il pleure.