In girum imus nocte et consumimur igni

Publié le par François

Tromperie des dédales de ruelles à Figuig.
On croit que le chemin mène à la mosquée et à elle seule.
Il continue en réalité, se fait souterrain, abandonne la clarté du jour, plonge dans une obscurité de boyaux où, longuement, il serpente à tâtons -parcours connu des seuls initiés- pour ressortir enfin, en pleine lumière, à proximité d’un marabout, la tombe d’un saint homme.

Publié dans Maroc

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Dura lex sed lex...
Répondre
P
cogito ergo sum
Répondre
M
on va pouvoir placer ça à table dans la conversation ce soir...  :)
Répondre
F
LOL!
Répondre
P
je ne l'avait pas vu!uv sap tiava'l en ej.
Répondre